http://www.fomento.gob.es/MFOM/LANG_CASTELLANO/_ESPECIALES/AYUDAS_PEVR0912/PEVR0912/
PROP
el.tach@hotmail.com (Mailo LEO)
El BANCO COMÚN DE CONOCIMIENTOS
jueves, 30 de junio de 2011
martes, 28 de junio de 2011
APRENDER A APRENDER
Apprendre
Comme nous l'avons défini dans l'introduction, l'activité d'apprentissage de l'élève dans une pédagogie de l'échange et de la rencontre se situe par rapport à trois termes: l'élève lui-même, son interlocuteur, individu et groupe, réel et inventé et une dimension médiale, le thème tout à la fois support et matérialisation d'une perception de soi dans la perspective de communication avec l'autre. Nous avons donc affaire ici à une conception dynamique et dialogique, dialectique du sujet qui apprend. Apprendre, c'est se transformer dans et par la relation à l'autre. L'apprentissage n'est pas une activité isolable du sujet, limitable à un domaine et indépendamment de toute relation sociale mais concerne toute la personnalité.
vais / veux faire savoir de ma vision du thème à mes partenaires étrangers ? Qu'est-ce que je sais, moi ? qu'est-ce qui est important ? Pourquoi est-ce que je vois les choses comme cela, etc. ? Mais Apprendre, c'est chercher. L'élève est un chercheur qui travaille sur une question: qu'est-ce que je chercher n'est toutefois pas seulement une activité intellectuelle !
Chercher des renseignements, des informations mais aussi aller à la " pêche aux objets ", fouiller un peu comme un archéologue des terrains, des contrées inexplorées. Chercher, c'est donc être en quête de réponses possibles à des questions qu’on se pose mais aussi qu’on découvre en chemin. Et quelle ne sera pas la surprise de l'élève de ramasser toute sorte de choses en chemin !
Apprendre, c'est construire des sens, des hypothèses. Ce n'est pas à l'enseignant de construire le sens à la place de l'élève. Il n'est là que pour aider celui-ci à construire et non pas pour se substituer à lui en le déchargeant de tout travail de recherche véritable.
Apprendre enfin, c'est agir/interagir avec d'autres. C'est une activité du sujet en relation avec d'autres sujets, d'un individu en relation avec d'autres individus (dans un groupe), présents physiquement ou non.
On voit donc s'esquisser, à partir de ces quelques éléments fragmentaires, ce qu'est à nos yeux l'acte d'apprendre et une sorte de portrait de l'élève, celui d’un élève autonome, curieux, actif, sociable, critique et ouvert, intellectuel et manuel, etc. Un portrait idéal ou un portrait inhabituel ? (1).
Christoph Kodron y Crhistian Alix. ENLACE
Comme nous l'avons défini dans l'introduction, l'activité d'apprentissage de l'élève dans une pédagogie de l'échange et de la rencontre se situe par rapport à trois termes: l'élève lui-même, son interlocuteur, individu et groupe, réel et inventé et une dimension médiale, le thème tout à la fois support et matérialisation d'une perception de soi dans la perspective de communication avec l'autre. Nous avons donc affaire ici à une conception dynamique et dialogique, dialectique du sujet qui apprend. Apprendre, c'est se transformer dans et par la relation à l'autre. L'apprentissage n'est pas une activité isolable du sujet, limitable à un domaine et indépendamment de toute relation sociale mais concerne toute la personnalité.
vais / veux faire savoir de ma vision du thème à mes partenaires étrangers ? Qu'est-ce que je sais, moi ? qu'est-ce qui est important ? Pourquoi est-ce que je vois les choses comme cela, etc. ? Mais Apprendre, c'est chercher. L'élève est un chercheur qui travaille sur une question: qu'est-ce que je chercher n'est toutefois pas seulement une activité intellectuelle !
Chercher des renseignements, des informations mais aussi aller à la " pêche aux objets ", fouiller un peu comme un archéologue des terrains, des contrées inexplorées. Chercher, c'est donc être en quête de réponses possibles à des questions qu’on se pose mais aussi qu’on découvre en chemin. Et quelle ne sera pas la surprise de l'élève de ramasser toute sorte de choses en chemin !
Apprendre, c'est construire des sens, des hypothèses. Ce n'est pas à l'enseignant de construire le sens à la place de l'élève. Il n'est là que pour aider celui-ci à construire et non pas pour se substituer à lui en le déchargeant de tout travail de recherche véritable.
Apprendre enfin, c'est agir/interagir avec d'autres. C'est une activité du sujet en relation avec d'autres sujets, d'un individu en relation avec d'autres individus (dans un groupe), présents physiquement ou non.
On voit donc s'esquisser, à partir de ces quelques éléments fragmentaires, ce qu'est à nos yeux l'acte d'apprendre et une sorte de portrait de l'élève, celui d’un élève autonome, curieux, actif, sociable, critique et ouvert, intellectuel et manuel, etc. Un portrait idéal ou un portrait inhabituel ? (1).
Christoph Kodron y Crhistian Alix. ENLACE
LA COMPRENSIÓN LECTORA EN INTERNET
Artículo bastante mediocre de Publico. ¿por qué será que Corea encabeza el ranking de los que comprenden mejor los textos en red? Porque se fomenta este hábito.
A los alumnos españoles se les atraganta la lectura digital. comenta EL PAÍS. En el mismo texto se dice
"(...) Es la primera vez que se hace este examen de lectura digital, por eso solo han participado en él 19 de los 65 países y regiones que tomaron parte en las pruebas de lectura (impresa), matemáticas y ciencias de PISA 2009. El hecho de que es una muestra pequeña de países, de que es la primera vez que se hace y de que hay algunos resultados difíciles de interpretar (como la extraordinaria diferencia de Corea sobre todos los demás) hace que algunos expertos reciban con cautela este examen que trata de evaluar la capacidad de los alumnos de 15 años para manejarse con la lectura digital (...)".
Pues a mi no me extraña que sea Corea la que encabece el ranking. El 1o de abril publicaba en mi blog la política del gobierno coreano a favor de las nuevas tecnologías. Señalaba, que a pesar de los prejuicios en contra de juegos en red como Warcraft o Starcraft, en este paíse se realizan competiciones publicas y los jugadores son tratados como héroes nacionales. Aquí vemos a Belén Esteban en la TV.
Ver lo que publiqué en abril . ENLACE
A los alumnos españoles se les atraganta la lectura digital. comenta EL PAÍS. En el mismo texto se dice
"(...) Es la primera vez que se hace este examen de lectura digital, por eso solo han participado en él 19 de los 65 países y regiones que tomaron parte en las pruebas de lectura (impresa), matemáticas y ciencias de PISA 2009. El hecho de que es una muestra pequeña de países, de que es la primera vez que se hace y de que hay algunos resultados difíciles de interpretar (como la extraordinaria diferencia de Corea sobre todos los demás) hace que algunos expertos reciban con cautela este examen que trata de evaluar la capacidad de los alumnos de 15 años para manejarse con la lectura digital (...)".
Pues a mi no me extraña que sea Corea la que encabece el ranking. El 1o de abril publicaba en mi blog la política del gobierno coreano a favor de las nuevas tecnologías. Señalaba, que a pesar de los prejuicios en contra de juegos en red como Warcraft o Starcraft, en este paíse se realizan competiciones publicas y los jugadores son tratados como héroes nacionales. Aquí vemos a Belén Esteban en la TV.
Ver lo que publiqué en abril . ENLACE
domingo, 26 de junio de 2011
E-COLI 0157:H7 EN FRANCIA
Se produce entre niños de 19 meses y 9 años que había comido hamburguesas. Los fabricantes de SEB dicen que la carne procedía de Alemania. ENLACE
miércoles, 22 de junio de 2011
fracaso europeo
“Que Grecia cumpla es necesario para que quienes hacen los deberes, como España, no sufran las consecuencias de que otros no los hagan.” -Joaquín Almunia, vicepresidente de la Comisión Europea-
.
A ver si lo he entendido, que soy un poco lento: resulta que el futuro de la zona euro y de las economías europeas depende de que el parlamento griego apruebe un nuevo plan de ajuste más drástico que los anteriores, para así activar el segundo rescate.
Es decir: que si los griegos no aceptan recortar pensiones, subir impuestos, despedir a miles de funcionarios y privatizar medio país, vendrá la debacle continental: el efecto contagio, el efecto dominó, el efecto Lehman Brothers y no sé si también el efecto mariposa y el efecto invernadero, ya puestos; la crisis se extenderá a todos los países, la moneda común desaparecerá, los trabajadores sufriremos más paro, más recortes y más miseria…
Pues sí que son egoístas los griegos, que prefieren salvar lo poco que les queda y dejar que se derrumbe Europa entera, ¿no? Pues no. Lo siento, pero no trago. No pienso seguir culpando a los griegos de todos los males, los suyos y los ajenos. Grecia es más víctima que culpable de una crisis que, no olvidemos, en sus inicios no fue helena sino financiera.
Ya va siendo hora de reconocer que la política anticrisis europea no funciona. Ni sirve para recuperar la economía, ni está sirviendo para resistir los “ataques de los mercados”. A Grecia se la rescató hace un año, se le impuso un plan de ajuste a lo bestia, con reducción de salarios y pensiones, recortes en educación y otras sangrías, y un año después no sólo está mejor, sino mucho peor, pagando hasta un 29% -han leído bien- por colocar bonos a tres años. ¿Para qué insistir en la fórmula del “rescate”, si el dinero recibido sólo sirve para pagar intereses, mientras se lucran los que hacen negocio con la deuda griega?
Insistir en el mismo camino no salvará a Grecia, desahuciada por los mercados y por la fraternal Europa. Sólo conseguirán hundirla más, a un coste altísimo para todos y, una vez hundida, los mercados trasladarán el negocio a otro país.
Yo no digo que abandonemos a Grecia, pero como parece demostrado que no la estamos salvando, ¿no deberíamos probar otra cosa?
.
A ver si lo he entendido, que soy un poco lento: resulta que el futuro de la zona euro y de las economías europeas depende de que el parlamento griego apruebe un nuevo plan de ajuste más drástico que los anteriores, para así activar el segundo rescate.
Es decir: que si los griegos no aceptan recortar pensiones, subir impuestos, despedir a miles de funcionarios y privatizar medio país, vendrá la debacle continental: el efecto contagio, el efecto dominó, el efecto Lehman Brothers y no sé si también el efecto mariposa y el efecto invernadero, ya puestos; la crisis se extenderá a todos los países, la moneda común desaparecerá, los trabajadores sufriremos más paro, más recortes y más miseria…
Pues sí que son egoístas los griegos, que prefieren salvar lo poco que les queda y dejar que se derrumbe Europa entera, ¿no? Pues no. Lo siento, pero no trago. No pienso seguir culpando a los griegos de todos los males, los suyos y los ajenos. Grecia es más víctima que culpable de una crisis que, no olvidemos, en sus inicios no fue helena sino financiera.
Ya va siendo hora de reconocer que la política anticrisis europea no funciona. Ni sirve para recuperar la economía, ni está sirviendo para resistir los “ataques de los mercados”. A Grecia se la rescató hace un año, se le impuso un plan de ajuste a lo bestia, con reducción de salarios y pensiones, recortes en educación y otras sangrías, y un año después no sólo está mejor, sino mucho peor, pagando hasta un 29% -han leído bien- por colocar bonos a tres años. ¿Para qué insistir en la fórmula del “rescate”, si el dinero recibido sólo sirve para pagar intereses, mientras se lucran los que hacen negocio con la deuda griega?
Insistir en el mismo camino no salvará a Grecia, desahuciada por los mercados y por la fraternal Europa. Sólo conseguirán hundirla más, a un coste altísimo para todos y, una vez hundida, los mercados trasladarán el negocio a otro país.
Yo no digo que abandonemos a Grecia, pero como parece demostrado que no la estamos salvando, ¿no deberíamos probar otra cosa?
¿GANAMOS MENOS O MAS QUE LOS ALEMANES?
JOSÉ MANUEL NAREDO
Economista y estadístico
Tras tanto hablar de la cohesión social para afirmar que el proyecto de la UE trascendía de la mera unión mercantil originaria, la crisis ha venido a aclarar sin tapujos que es la Europa del capital, y no la de los ciudadanos, la que prima en la toma de decisiones. Los recientes movimientos de protesta vienen a recordar las promesas violadas de esa Europa unida y solidaria a la que hacía mención el Tratado de Lisboa.
Para contentar a la mayoría, se presentó la adhesión a la UE de los países hoy llamados “periféricos” como la entrada en un club de ricos que, guiado por el objetivo de la
cohesión social, iría construyendo un espacio cada vez más homogéneo en derechos, retribuciones y prestaciones sociales. Sin embargo, al cebarse precisamente en los “países periféricos” las agresiones a las retribuciones, derechos y prestaciones sociales de los trabajadores, practicadas al calor de la crisis, se hundió el sueño de esa Europa de ciudadanos libres e iguales, llamados a participar en instituciones que, se suponía, irían reforzando la unidad política y la cohesión social en un espacio heterogéneo.
Por ejemplo, según las estadísticas de la UE, el coste laboral por hora de trabajo en Rumanía era antes de la crisis sólo el 15% de la media de los 27 y el gasto social y las pensiones per cápita apenas alcanzaban a ser el 4 y 5% de la media comunitaria; pese a ello, se han acordado drásticos recortes en aras de una supuesta mejora de la competitividad. Lo mismo ha ocurrido en Grecia, Portugal y España. Cuando en nuestro país el coste laboral por hora de trabajo, el gasto social y las pensiones a duras penas llegan a ser la mitad que en Alemania y se sitúan bien por debajo de la media de la UE de los 27, se vienen imponiendo más y más recortes en retribuciones, cotizaciones y derechos sociales. Es vergonzoso que se juegue a salvar la UE hundiéndola como proyecto socio-político, pues ya no se habla de igualar por arriba, ni siquiera de igualar por abajo, sino de degradar más y más la precaria situación de los de abajo, ampliando la grave polarización social del espacio europeo, a la vez que se corre un tupido velo sobre los factores que de verdad sesgan la productividad y los ingresos a favor de los ricos.
PUBLICO
Economista y estadístico
Tras tanto hablar de la cohesión social para afirmar que el proyecto de la UE trascendía de la mera unión mercantil originaria, la crisis ha venido a aclarar sin tapujos que es la Europa del capital, y no la de los ciudadanos, la que prima en la toma de decisiones. Los recientes movimientos de protesta vienen a recordar las promesas violadas de esa Europa unida y solidaria a la que hacía mención el Tratado de Lisboa.
Para contentar a la mayoría, se presentó la adhesión a la UE de los países hoy llamados “periféricos” como la entrada en un club de ricos que, guiado por el objetivo de la
cohesión social, iría construyendo un espacio cada vez más homogéneo en derechos, retribuciones y prestaciones sociales. Sin embargo, al cebarse precisamente en los “países periféricos” las agresiones a las retribuciones, derechos y prestaciones sociales de los trabajadores, practicadas al calor de la crisis, se hundió el sueño de esa Europa de ciudadanos libres e iguales, llamados a participar en instituciones que, se suponía, irían reforzando la unidad política y la cohesión social en un espacio heterogéneo.
Por ejemplo, según las estadísticas de la UE, el coste laboral por hora de trabajo en Rumanía era antes de la crisis sólo el 15% de la media de los 27 y el gasto social y las pensiones per cápita apenas alcanzaban a ser el 4 y 5% de la media comunitaria; pese a ello, se han acordado drásticos recortes en aras de una supuesta mejora de la competitividad. Lo mismo ha ocurrido en Grecia, Portugal y España. Cuando en nuestro país el coste laboral por hora de trabajo, el gasto social y las pensiones a duras penas llegan a ser la mitad que en Alemania y se sitúan bien por debajo de la media de la UE de los 27, se vienen imponiendo más y más recortes en retribuciones, cotizaciones y derechos sociales. Es vergonzoso que se juegue a salvar la UE hundiéndola como proyecto socio-político, pues ya no se habla de igualar por arriba, ni siquiera de igualar por abajo, sino de degradar más y más la precaria situación de los de abajo, ampliando la grave polarización social del espacio europeo, a la vez que se corre un tupido velo sobre los factores que de verdad sesgan la productividad y los ingresos a favor de los ricos.
PUBLICO
martes, 21 de junio de 2011
SEGUROS SIN FONDOS. ataque a grecia
La reestructuración de la deuda griega está siendo tema de actualidad en las últimas semanas. Eminentes economistas han coincidido en que Grecia no va a poder hacer frente a sus deudas y se precisa de una reestructuración de la misma. Sin eufemismos, reestructurar es realizar una quita como en cualquier concurso de acreedores; es imposible que Grecia pueda pagar lo que debe. Si ello es así, ¿por qué no se aplica la quita?. ¿Porque las autoridades europeas y, especialmente, el Banco Central Europeo esperan ganar tiempo aplicando medidas de parcheo, para alargar los plazos de pago y pretenden que con el dinero público de todos los europeos se salve a Grecia de una quiebra? Sencillamente, porque una quita de la deuda griega conllevaría que se descubriera la mayor estafa perpretada en la historia de la humanidad. Todas las emisiones de deuda griega y de otros países han ido acompañadas de la compra de derivados que aseguraban su cobro -los sofisticados CDS o Credit Default Swap-. Pero los vendedores de ese tipo de derivados no disponen de fondos para hacer frente a sus obligaciones contractuales.
Reestructurar la deuda de un país no sería una novedad. Recordemos cuando se procedió a una quita de la deuda argentina y de otros países y los bonos Brady; que pregunten a los inversores italianos y franceses que poseían títulos del Estado argentino cuánto perdieron. En aquel periodo no existían aún los productos que aseguraban el cobro de las emisiones, por lo que los tenedores de títulos tuvieron que asumir la pérdida como cualquier acreedor en un concurso. Así debería efectuarse con la deuda griega; pues, en este caso, los tenedores de títulos griegos harían efectivos sus contratos de seguro y exigirían que se les pagase la parte de pérdida asumida. Los tenedores no perderían por su inversión. Por lo tanto, ¿Qué necesidad hay de salvar a Grecia? Si ella no paga, los tenedores tampoco perderían. El secreto está en que los sindicatos bancarios vendedores de esos seguros, que se han lucrado con cuantiosas comisiones -ello explica por qué los bancos de inversión americanos se han recuperado tan rápidamente y han vuelto a repartir millonarios sueldos entre sus directivos-, no disponen de fondos para cumplir su parte del contrato y asumir las pérdidas que supondría esa quita. Pues las entidades que venden CDS no están obligadas a crear reservas, ni provisiones como las clásicas compañias de seguro.
Por ello, nuestras autoridades monetarias pretenden que esa estafa no se descubra y que recaiga sobre las espaldas de los contribuyentes europeos el coste de salvar a Grecia y pretenden ganar tiempo, cambiando los tenedores de la deuda pública griega que pasarían de ser entidades privadas -que han pagado un aseguramiento- a los entes públicos europeos, es decir, los contribuyentes europeos. Asistimos, pues, a una operación de encubrimiento de la mayor estafa de la historia de la humanidad, encubrimiento perpetrado por las autoridades europeas en beneficio de la banca de inversión vendedora de CDS. Como detrás no hay fondos para pagar la quita de la deuda asegurada, pretenden que lo paguemos los ciudadanos europeos con nuestros impuestos. Un motivo más para que la ciudadanía se indigne.
JOSE MORATAL levante-emv
Reestructurar la deuda de un país no sería una novedad. Recordemos cuando se procedió a una quita de la deuda argentina y de otros países y los bonos Brady; que pregunten a los inversores italianos y franceses que poseían títulos del Estado argentino cuánto perdieron. En aquel periodo no existían aún los productos que aseguraban el cobro de las emisiones, por lo que los tenedores de títulos tuvieron que asumir la pérdida como cualquier acreedor en un concurso. Así debería efectuarse con la deuda griega; pues, en este caso, los tenedores de títulos griegos harían efectivos sus contratos de seguro y exigirían que se les pagase la parte de pérdida asumida. Los tenedores no perderían por su inversión. Por lo tanto, ¿Qué necesidad hay de salvar a Grecia? Si ella no paga, los tenedores tampoco perderían. El secreto está en que los sindicatos bancarios vendedores de esos seguros, que se han lucrado con cuantiosas comisiones -ello explica por qué los bancos de inversión americanos se han recuperado tan rápidamente y han vuelto a repartir millonarios sueldos entre sus directivos-, no disponen de fondos para cumplir su parte del contrato y asumir las pérdidas que supondría esa quita. Pues las entidades que venden CDS no están obligadas a crear reservas, ni provisiones como las clásicas compañias de seguro.
Por ello, nuestras autoridades monetarias pretenden que esa estafa no se descubra y que recaiga sobre las espaldas de los contribuyentes europeos el coste de salvar a Grecia y pretenden ganar tiempo, cambiando los tenedores de la deuda pública griega que pasarían de ser entidades privadas -que han pagado un aseguramiento- a los entes públicos europeos, es decir, los contribuyentes europeos. Asistimos, pues, a una operación de encubrimiento de la mayor estafa de la historia de la humanidad, encubrimiento perpetrado por las autoridades europeas en beneficio de la banca de inversión vendedora de CDS. Como detrás no hay fondos para pagar la quita de la deuda asegurada, pretenden que lo paguemos los ciudadanos europeos con nuestros impuestos. Un motivo más para que la ciudadanía se indigne.
JOSE MORATAL levante-emv
lunes, 20 de junio de 2011
domingo, 19 de junio de 2011
EL PACTO DEL EURO
PÁGINA DE DRY
Manipulación burda de El Mundo y Telemadrid: usan imágenes de Grecia para desprestigiar al 15-M
Telemadrid: pulgas y chinches al sol
Sol se solidariza con Barcelona
Manipulación burda de El Mundo y Telemadrid: usan imágenes de Grecia para desprestigiar al 15-M
Telemadrid: pulgas y chinches al sol
Sol se solidariza con Barcelona
viernes, 17 de junio de 2011
LAS EMPRESAS DEBEN MÁS QUE LOS PARTICULARES
EL PAÍS. 17 DE MAYO DE 2011
La morosidad en la banca vuelve a subir en abril
El paro y las dificultades económicas elevan los créditos dudosos (LA MAYORÍA DE EMPRESAS) del sector financiero hasta el 6,36% con 115.000 millones. -La tasa de mora en los préstamos a promotores sube al 15,24%
EL PAÍS | Madrid 17/06/2011
Morosidad en la banca
La morosidad en los créditos de bancos y cajas volvió a subir en abril hasta el 6,36%, lo que equivale a más de 115.000 millones de euros bajo la categoría de dudoso cobro, según los datos publicados hoy por el Banco de España. Este porcentaje supone su nivel más alto desde junio de 1995. Además, en el crédito concedido a los promotores inmobiliarios, donde se acumulan las tasas más altas de morosidad, la mora asciende hasta el 15,24% al cierre del primer trimestre, la cifra más elevada la historia.
El repunte de abril rompe la tendencia iniciada en marzo, cuando la mora de la banca cayó por primera vez en cinco meses. Además, destaca que aumenta la morosidad pese a que baja el volumen total de los créditos, que se reduce en 10.500 millones o un 1,8% hasta los 1,81 billones de euros.
Por tipo de entidades, los bancos, que han visto incrementado su tasa de dudosos por el traslado de la morosidad de la Caja Castilla-La Mancha tras su transformación en un banco, situaron su mora en el 6,45%, las cajas en en el 6,26% y las cooperativas en el 5,68%.
La cartera morosa de los bancos superó en abril los 53.000 millones de euros (53.724), 1.147 millones de euros por encima de la de marzo y más de 2.000 por encima de la de las cajas, que se situó en 51.636 millones de euros. Los créditos concedidos por los bancos sumaba a finales de abril 832.329 millones de euros, inferior a los 839.517 millones de marzo, en tanto que la de las cajas de ahorros se redujo hasta 824.283 millones desde los 827.584 de abril.
En cuanto al crédito al sector promotor, el 15,24% de mora alcanzado en el tercer trimestre, último dato publicado, equivalen a unos dudosos de 47.648 millones, 3.000 millones más que a cierre de 2010, frente a una cartera de 312.641 millones de euros, un 1% menos que a cierre del pasado año.
Estos préstamos dudosos tienen mayor presencia en las cajas con 24.099 millones, mientras los bancos acumulan 21.424 millones. En porcentaje, sin embargo, las posiciones se invierten porque las cajas tienen concedidos más créditos al sector inmobiliario. En concreto, frente al 14,83% de morosidad de estas últimas, los bancos registran una tasa de mora del 15,87%.
La tasa de impago de los créditos para la adquisición de vivienda con garantía hipotecaria, por su parte, alcanzó en marzo el 2,41%, lo que supone un leve aumento frente al 2,40% de diciembre de 2010 y deja de relieve que se modera el incremento de la morosidad en este tipo de préstamos. Antes del estallido de la burbuja inmobiliario, en 2008, esta tasa se situaba por debajo del 1%.
Las entidades financieras clasifican sus créditos como dudosos cuando su titular, sean un particular o una empresa, acumula tres meses consecutivos de impagos, como establece la legislación vigente.
martes, 14 de junio de 2011
martes, 7 de junio de 2011
¿LES DEBEMOS DINERO A LOS EXTRATERRESTRES?
¡El planeta entero en bancarrota! ¿Cómo es eso posible? ¿Acaso debemos dinero a seres extraterrestres, para que todos estemos en deuda al mismo tiempo?
lunes, 6 de junio de 2011
TWETS SOBRE LA GREEKREVOLUTION
Tweets ·
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gbva Abnormal Pussybear
Countries turning into concentration camps... Once again, the German leadership is making its point... #greekrevolution #plateiokratia
2 hours ago
gbva Abnormal Pussybear
I protest, therefor, I exist #greekrevolution #plateiokratia #25Mgr #unfair_policies #stop_police_violence #useless_government #athensgr
2 hours ago
theblobgr The blob
@
@gbva Ι m your biggest fan.I 'll follow you until you love me. paga-paga-pagalaki. #25Mgr #plateiokratia #greekrevolution #Greek_drama
30 May
gbva Abnormal Pussybear
Greek politicians #mythos #legend #unfair_policies #plateiokratia #25Mgr #greekrevolution #kill_them_all #fail
30 May
gbva Abnormal Pussybear
Οι κυβερνήσεις πέφτουν (ή θα πέσουν) μα το μνημόνιο μένει (και θα μείνει) #fact #greekrevolution #25Mgr #plateiokratia #unfair_policies
30 May
gbva Abnormal Pussybear
Αν πουλούσανε παιδιά τη κυβέρνηση, πόσα θα πιάναμε; #greekrevolution #plateiokratia #25Mgr #revolt #unfair_policies #worthless_government
29 May
You’ve reached the end of the Top Tweets for #plateiokratia.
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gbva Abnormal Pussybear
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gbva Abnormal Pussybear
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30 May
gbva Abnormal Pussybear
Greek politicians #mythos #legend #unfair_policies #plateiokratia #25Mgr #greekrevolution #kill_them_all #fail
30 May
gbva Abnormal Pussybear
Οι κυβερνήσεις πέφτουν (ή θα πέσουν) μα το μνημόνιο μένει (και θα μείνει) #fact #greekrevolution #25Mgr #plateiokratia #unfair_policies
30 May
gbva Abnormal Pussybear
Αν πουλούσανε παιδιά τη κυβέρνηση, πόσα θα πιάναμε; #greekrevolution #plateiokratia #25Mgr #revolt #unfair_policies #worthless_government
29 May
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domingo, 5 de junio de 2011
sábado, 4 de junio de 2011
PAPÁ ALEMANIA
El complejo de inferioridad ante Alemania. ROSA SALA ROSE
"(...) Puede que aquí nos esté pasando factura un turismo barato de sol y playa que en lugar de contribuir a un mayor entendimiento entre las naciones parece haber servido para afianzar ciertas ideas preconcebidas que prenden en una parte nada desdeñable de la población alemana. La misma que a partir de ahora, a pesar de todos los desmentidos, seguirá mirando con desconfianza los productos españoles. Puede que Angela Merkel esté tratando de ganar apoyos entre estos votantes a costa de deteriorar las relaciones con un miembro de la familia europea que parece poco propenso a alborotar.
Y es que, cuando se trata de Alemania, la mentalidad española adolece de un complejo de inferioridad secular que dificulta cualquier conato de rebelión. Demasiado intensa fue la germanofilia promovida por la propaganda oficial en tiempos de guerra, latente en las largas décadas de dictadura que siguieron. Alemania traía inversores y turistas a un país depauperado y eso costaba un tributo de admiración y docilidad que continúa presente en muchas cabezas (...)".
"(...) Puede que aquí nos esté pasando factura un turismo barato de sol y playa que en lugar de contribuir a un mayor entendimiento entre las naciones parece haber servido para afianzar ciertas ideas preconcebidas que prenden en una parte nada desdeñable de la población alemana. La misma que a partir de ahora, a pesar de todos los desmentidos, seguirá mirando con desconfianza los productos españoles. Puede que Angela Merkel esté tratando de ganar apoyos entre estos votantes a costa de deteriorar las relaciones con un miembro de la familia europea que parece poco propenso a alborotar.
Y es que, cuando se trata de Alemania, la mentalidad española adolece de un complejo de inferioridad secular que dificulta cualquier conato de rebelión. Demasiado intensa fue la germanofilia promovida por la propaganda oficial en tiempos de guerra, latente en las largas décadas de dictadura que siguieron. Alemania traía inversores y turistas a un país depauperado y eso costaba un tributo de admiración y docilidad que continúa presente en muchas cabezas (...)".
EL DESCRÉDITO ALEMÁN
La Alemania de Angela Merkel se ha desprestigiado frente a los socios europeos, especialmente los del sur. ENLACE A EL PAIS
viernes, 3 de junio de 2011
jueves, 2 de junio de 2011
LA BERLUSCONIZACIÓN DE ALEMANIA
El Populismo alemán. La vanguardia habla de los derroteros populistas alemanes y desmonta alguno de los mitos sobre el papel alemán en Europa. Alemania no es la que más paga, por ejemplo. "(...) El comentarista alemán Jens Berger, que expone algunos de los datos mencionados, observa que en lugar de promover menos horas de trabajo y una jubilación que permita disfrutar del retiro, la canciller practica, “una competición europea en recortes del bienestar y promociona la discriminación mediante falsedades”. Berger considera que con esta línea, Merkel promueve el resentimiento en Europa y contra Alemania en Europa. Que esto se hiciera desde Atenas o Barcelona, sería lamentable, pero casi irrelevante para Europa. Desde Alemania, desde el país que más necesita económicamente a Europa, porque es donde vende el grueso de sus exportaciones, es muy grave. (...)"
La crisis europea tiene que ver con la incapacidad de la Unión por afirmar un programa anticrisis que ponga fin al orden económico que metió al euro en su actual agujero y que ahora conduce a la Unión Europea a un segundo batacazo con la misma receta. La contribución alemana a ese fracaso está siendo considerable. ENLACE
Habermas habla de la Berlusconización de Alemania. Está claro que a Merkel le hace mucha gracia Berlusconi:
Berlusconi prefiere a Simone Ventura
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La poco formal concejala de Hamburgo
ANGELA MERKEL ¿POR QUÉ NO TE CALLAS? o las reacciones que está provocando la canciller alemana. enlace
La crisis europea tiene que ver con la incapacidad de la Unión por afirmar un programa anticrisis que ponga fin al orden económico que metió al euro en su actual agujero y que ahora conduce a la Unión Europea a un segundo batacazo con la misma receta. La contribución alemana a ese fracaso está siendo considerable. ENLACE
Habermas habla de la Berlusconización de Alemania. Está claro que a Merkel le hace mucha gracia Berlusconi:
Berlusconi prefiere a Simone Ventura
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La poco formal concejala de Hamburgo
ANGELA MERKEL ¿POR QUÉ NO TE CALLAS? o las reacciones que está provocando la canciller alemana. enlace
miércoles, 1 de junio de 2011
OTRA DE LA MERKEL
En plena crisis alimentaria, cuando su país no sabe resolver una epidemia como la del E-coli, Angela Merkel acusa a países de la UE de no ser competitivos. ¿A qué se refiere? No se trata por supuesto de I+D sino de reducir salarios.
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¿Por qué tardan ahora tanto los alemanes en encontrar la causa de la infección? ENLACE
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¿Y si el E.Coli estuviera en la carne?
Alemania en el punto de mira. ENLACE
La bacteria de las hamburguesas: EL PAÍS
E.coli de las hamburguesas: ENLACE
Monografías médica: ENLACE AL E.COLI DE LAS HAMBURGUESAS
LA BACTERIA ESCHERRIA COLI: ¿Animales alimentados con maíz transgénico? ENLACE A LA BACTERIA
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